Les 100 jours
Les derniers soldats
Vincent Lansard frère de mon ancêtre, Joséphine Lansard et de Pierre Lansard (le mousse qui fit ensuite les campagne de l’Empire) fera parti des ultimes engagés volontaires de l’armée de Napoléon en 1813 dans le 14° régiment de chasseurs à cheval moins d’un an avant l’abdication. Cela l’amène à participer néanmoins au sein de la grande armée, au côtés de son frère Pierre, à la campagne de France en 1814 avec les victoires de Montmirail et Champaubert mais n’empêche pas l’occupation de Paris par les armées coalisées.
L'exil et les 100 jours
Après avoir abdiqué, Napoléon s'exile sur l’Île d’Elbe entre la Corse et l'Italie. Il se morfond rapidement sur cette petite île ou il ne reste que 10 mois du 14 avril 1814 au 1er mars 1815.
Il revient alors en France ou il entreprend une remontée vers Paris qui se termine triomphalement à Paris d'où le frère de Louis XVI, Louis XVIII qui est monté sur le trône s'est enfui à son arrivée.
Le ralliement du 7e d’infanterie de ligne à l'Empereur, le 7 mars 1815.
Peinture de Charles Auguste Guillaume Steuben
Immédiatement les nations européennes se coalisent et constituent une armée contre laquelle Napoléon va aller se battre en Belgique près d'une ville appelée Waterloo.
L'Armée Royale de Bretagne
En Bretagne, qui était restée calme depuis la fin de la chouannerie, l'armée Catholique et Royale se reconstitue. On y trouve le terrible Yves le Dain, l'irréductible chouan, Mathurin Le Moing un cousin un peu plus éloigné.
Napoléon rappelle alors d'anciens soldats démobilisés, comme Pierre Lansard, qui reprennent du service et qu'il charge de réprimer les insurgés.
Mais les affrontement resteront limités, la défaite de Waterloo a lieu rapidement le 18 juin avant que cette nouvelle guerre de l'ouest n'ait pu véritablement commencer.